Découvrez Michael Calfan en 10 questions (Interview)

Si vous ne le saviez pas, l’un des djs et producteurs à suivre en ce moment est un français signé dans le label néerlandais Spinnin Records. Un mec de 25 ans qui a déjà un long background puisqu’il a travaillé de longues années pour Bob Sinclar avant de connaître un premier succès avec le titre Resurrection.

Nous avions rencontré l’artiste il y’a quelques jours pour une longue interview que vous retrouverez début Mai dans la version papier d’IGGY Magazine.

Découvrez pour l’instant les Tips de Michael Calfan.

 

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IGGY Magazine : Tu écoutes quoi en ce moment ?

Michael Calfan : Pas un artiste en particulier. Ce que je fais en ce moment c’est que je vais sur des blogs comme le tourne disque etc…je note les noms d’un tas d’artistes inconnus, je télécharge leur musique et j’écoute quand je suis dans l’avion, je découvre et je reste au courant de ce qui se fait.

 

IGGY Magazine : Tu sors où à Paris ?

Michael Calfan : C’est frustrant de sortir danser quand tu mixes souvent en boîte mais quand je suis à Paris je vais dans des endroits comme le Baron, le Raspoutine

 

IGGY Magazine : Ton rituel avant de monter sur scène ?

Michael Calfan : Je n’aime pas arriver en avance et attendre pour jouer parce que ça me met la pression. Tu entends ce qui passe, tu vois l’ambiance et tu commences à te poser des questions c’est pourquoi j’arrive en général 5 minutes avant comme ça je viens et je monte sur scène sans cogiter.

 

IGGY Magazine : Une chose dont tu ne peux pas te passer ?

Michael Calfan : Dans la pochette où je range mes cds  pour jouer en club, il y’a la bague de ma grand-mère que je regarde et que je touche chaque fois avant de monter sur scène.

 

IGGY Magazine : L’album qui t’a le plus marqué ?

Michael Calfan : J’ai surtout été marqué par des titres individuellement. Quand j’étais petit c’était Demon avec You Are My High, Lady de Modjo etc…

 

IGGY Magazine : La ville dans laquelle tu rêves de vivre ?

Michael Calfan : J’adore Paris.

 

IGGY Magazine : Un artiste inconnu que tu nous conseillerais d’écouter ?

Michael Calfan : J’en ai des centaines dans ma playlist que je télécharge en masse et que j’écoute quand je voyage. Ça me permet de découvrir des sonorités de voir et d’anticiper les tendances . Là tout de suite, je suis incapable de te sortir un nom

 

IGGY Magazine : Quelque chose ou quelqu’un à qui tu aimerais dire « Merde »

Michael Calfan : La vie est tellement courte et belle qu’il faut plutôt en profiter au lieu de chercher des problèmes, de se compliquer les choses…

 

IGGY Magazine : Quelqu’un à qui tu aimerais dire « Merci » ?

Michael Calfan : Mes potes.  J’ai trois ou quatre potes qui ont cru en moi quand j’ai dit à tout le monde que je voulais arrêter les études pour me lancer dans la musique. Ils m’ont tout de suite dit de foncer. Leur avis est très important pour moi.

Il y’a aussi ma copine, on est ensemble depuis 6 ans maintenant. On s’est connu quand j’avais 19 ans. Elle est indispensable pour moi dans mon processus de création parce que je sais que je peux me consacrer exclusivement à ça. Elle m’apporte l’équilibre émotionnel dont j’ai besoin pour créer. Elle se charge de tous les trucs relous de la vie.

 

IGGY Magazine : Le meilleur moment pour composer un morceau ?

Michael Calfan : Il n’y en a pas vraiment. Ça dépend de mon envie, mon état d’esprit et mon inspiration. 

 

IGGY Magazine : Un son que tu hurles sous la douche ?

Michael Calfan : Je ne chante pas vraiment sous la douche mais j’aime bien hurler les vieux sons de la variété française comme du Claude François, Mike Brant. Par exemple la dernière fois j’ai entendu le morceau « Le Temps des Cathédrales » de Notre Dame de Paris. Je n’ai pas arrêté de la hurler toute la journée.