« FRENZY » est pour ainsi dire une mélodie qui sort des sentiers battus. C’est le genre de musique qui ne peut que sublimer les playlists. Avec une entrée en matière soft et douce, ce concerto accélère la cadence pendant quelques secondes avant de redevenir doux et rythmé.
Cette symphonie instrumentale n’a pas besoin de paroles pour être sublime, on comprend dès lors le choix de l’auteur de ne pas lui en attribuer. En moins de 3 minutes, le virtuose du piano Leonardo Barilaro nous fait voyager tout en restant sur place.
Chaque note est comme un dialogue, une discussion entre ce virtuose et son audience. Les personnes recherchant une mélodie pour se détendre et sortir des méandres quotidiens sauront trouver leur bonheur dans ce travail de qualité. La minute finale est cruciale car on observe une énergie encore plus particulière et une tonalité électrisante pour le bon plaisir des auditeurs. Le final est assez discret avec une performance plus subtile compréhensible uniquement par les fins connaisseurs et les amoureux des concertos.
En somme, c’est une pièce inédite qui nous est livrée par cet artiste. En plus d’être un pari risqué, « FRENZY », c’est un dialogue, une culture. Cette mélodie mérite sans aucun doute de trôner parmi les mélodies les plus abouties de son époque.

