Dans un univers où la détermination fait loi, Ekelle revient avec « Kiss the Ring », un titre incisif qui affirme sa place dans le game. La rappeuse torontoise, signée chez Cymba Music Publishing, livre ici un manifeste pour tous ceux qui tracent leur chemin sans demander la permission.
Dès les premières mesures, la production percutante impose une énergie brute. Les sons grondent, les percussions claquent, et la voix d’Ekelle s’élève, incisive, affirmée. Son flow tranchant épouse parfaitement l’instrumentale, entre rythmiques cadencées et mélodie accrocheuse. La fusion entre rap et influences pop, qu’elle qualifie de « Hood Pop », lui permet de jongler entre punchlines affûtées et refrains entêtants.
Mais au-delà du son, « Kiss the Ring » est une déclaration. Les paroles parlent de combat, de résilience et d’un respect qui ne se quémande pas, mais se prend. Ekelle y célèbre l’ambition avec un message sans détour : le succès n’appartient qu’à ceux qui osent le saisir. Elle s’adresse aux battants, aux rêveurs, à ceux qui affrontent les tempêtes pour atteindre leur sommet.
Ce premier single de l’année annonce une série de sorties qui promettent de secouer la scène musicale. Avec « Kiss the Ring », Ekelle ne se contente pas de frapper fort : elle s’impose.