Oliver Jordan frappe fort avec son nouvel EP, Death Rodeo, qui s’impose comme une véritable déclaration dans le paysage rock indépendant. Ce projet de 11 titres est une exploration sonore intense, où chaque morceau raconte une histoire d’énergie brute et de mélodies soignées.
L’EP s’ouvre sur la chanson éponyme, Death Rodeo, un morceau qui capte immédiatement l’attention avec son rythme énergique et ses riffs de guitare accrocheurs. La production sonore impressionne, offrant une qualité cristalline qui met en valeur la construction habile de la mélodie. Ce premier titre installe un ton vibratoire et dynamique, qui se poursuit tout au long de l’album.
Menticide poursuit cette lancée, avec des riffs puissants et une énergie palpable. La production, toujours aussi précise, laisse place à des arrangements rock impeccablement maîtrisés. La mélodie, bien qu’intense, reste mémorable et se grave facilement dans l’esprit.
Un des moments forts de l’EP est Black Butterfly, une ballade rock qui marie énergie brute et émotion palpable. Les guitares électrisent l’atmosphère, tandis que la voix de Jordan se distingue par sa profondeur et son caractère. C’est une chanson où chaque note semble vibrer d’une sincérité brute.
Enfin, Secret 13 offre une parenthèse plus intime. La chaleur des guitares acoustiques enveloppe l’auditeur, tandis que les arrangements vocaux, parfaitement exécutés, confèrent à ce morceau une beauté tranquille mais affirmée.
Avec Death Rodeo, Oliver Jordan propose un EP riche, aussi bien par son énergie que par sa diversité musicale. Chaque chanson est une exploration sonore fascinante qui révèle un artiste en pleine ascension, capable de marier la puissance brute du rock avec des mélodies qui ne laissent personne indifférent.