June Freedom revient avec « Oh My Lady », une nouvelle pièce maîtresse de son univers afro-fusion, empreinte de sensualité et de chaleur émotionnelle. En mêlant anglais et kriolu capverdien, l’artiste livre un hymne intime à l’amour vrai, celui qui se vit dans la pleine présence à l’autre, celui qui élève autant qu’il apaise.
Porté par une production signée Abolaji Collins Kuye — artisan des hits de Rema ou Mayorkun — « Oh My Lady » baigne dans une douceur organique, guidée par des guitares soyeuses et un groove aéré. L’alchimie entre la voix suave de June Freedom et les choix mélodiques du beatmaker nigérian donne naissance à une atmosphère presque méditative.
Le titre ne cherche pas l’effet immédiat : il s’installe, s’infuse, crée un espace de résonance émotionnelle. La narration est limpide, mais le propos est profond. « C’est ce genre d’amour qui te retient sans t’emprisonner », dit June. Et c’est exactement ce que l’on ressent : une célébration subtile de la passion sereine, loin des clichés.
Avec ce morceau, June Freedom continue d’affiner sa signature : une pop afro-mondialisée à la fois connectée aux racines et tournée vers l’introspection. Un artiste à suivre, plus que jamais.