Il fonce, il défie, il ne regarde jamais en arrière. Avec Catch Me If You Can, KSI signe un retour flamboyant qui ne laisse aucun doute sur ses intentions : garder son avance, écraser les doutes, incarner le succès dans sa forme la plus assumée. À travers ce nouveau single, dévoilé chez Warner Records, le Britannique brouille encore un peu plus les frontières entre musique, boxe et business.
La production ? Un véritable carrousel de talents : Ryan Ogren, Peter Fenn, KBeazy, Gian Stone… Des architectes du hit au service d’un artiste devenu marque, devenu machine. Le résultat est ciselé, entraînant, gonflé à l’égo mais jamais creux. Chaque beat, chaque mot tape juste. Le refrain — “Catch me if you can” — sonne comme un mantra pour ceux qui avancent sans permission.
Côté visuel, KSI frappe fort. Le clip signé Troy Roscoe, entre ville futuriste et envolées métaphoriques, catapulte l’artiste dans un univers où la réussite est littéralement une course contre la gravité. Voiture de l’espace, argent qui pleut, toit de gratte-ciel : tout est exagéré, donc parfaitement KSI.
Avec son « million dollar smile » en étendard, KSI ne cherche pas la modestie. Il impose le respect. Plus qu’un morceau, Catch Me If You Can est un statement : celui d’un homme qui court devant, et ne compte pas ralentir.