À peine les premiers beats résonnent qu’on devine l’intention : faire danser. Avec Girlz, Willy William revient à ce qu’il sait faire de mieux – créer des hymnes pour les corps en mouvement. Sorti juste avant le cœur de la saison estivale, ce nouveau titre vibre comme une invitation à célébrer la féminité, la liberté et l’insouciance des nuits sans fin.
Willy n’est pas un nouveau venu sur la scène globale. Depuis Ego jusqu’au raz-de-marée Mi Gente, ses productions ont toujours su naviguer entre cultures et clubs, entre refrains accrocheurs et pulsations irrésistibles. Mais Girlz marque une évolution. Finie la veine latino-pop qui l’unissait récemment à David Guetta et Nicky Jam sur Cuentale. Place à un son résolument orienté dancefloor, pensé pour les DJ sets et les festivals électroniques.
Le morceau s’impose sans détour : percussions bondissantes, lignes de basse efficaces, voix samplées en écho à une foule en liesse. Rien de superflu, juste l’essentiel pour faire lever les bras, peu importe le fuseau horaire. Et cela tombe bien : l’artiste s’apprête à sillonner les scènes majeures, d’Ultra Europe à l’Amnesia d’Ibiza.
Avec Girlz, Willy William ne suit pas la tendance : il l’amplifie. Le titre est une promesse de chaleur, un clin d’œil à toutes celles qui vivent la musique comme une libération. Et une preuve de plus que, quand vient l’été, Willy sait exactement où frapper.

