Après avoir marqué les ondes américaines avec « Chained », devenu l’un des titres les plus ajoutés en radio et cumulant plus d’un demi-million d’impressions hebdomadaires, Alwyn Morrison revient avec un nouveau single incandescent : « Turn All The Lights On ».
Dès les premières notes, on sent une montée d’énergie portée par une base rock solide, des guitares nerveuses et une pulsation qui flirte avec le pop-punk. Mais Morrison ne se contente pas de livrer un morceau calibré pour l’adrénaline : il y glisse une profondeur émotionnelle, retraçant un parcours qui va de la rupture à la réaffirmation de soi. Dans ce récit, les références à Britney Spears et Whitney Houston deviennent des symboles de résilience, des repères lumineux dans un cheminement intérieur.
Le titre trouve son équilibre entre puissance et fragilité. La voix de Morrison, tantôt aérienne, tantôt habitée, se déploie sur des arrangements qui laissent place aux détails : le piano sensible d’Harlan Hodges, la basse grondante, et surtout ce solo de guitare signé Michael Carey qui surgit après le pont comme une libération. Tout y respire la tension maîtrisée et la catharsis.
Avec « Turn All The Lights On », Morrison ne livre pas seulement une chanson : il propose un hymne à la reconquête de soi, une invitation à rallumer les projecteurs quand tout semble s’éteindre. Un morceau qui s’écoute fort, mais surtout qui s’éprouve, comme une décharge d’énergie et de vérité.

