La chanson « CIGAPPLE » de Nat Harvie se présente comme une vague impressionniste d’art pop dramatique, plongeant profondément dans l’imperfection ineffable des relations interpersonnelles. Harvie lui-même décrit la chanson comme une exploration des « façons réelles et imaginaires dont je prends soin de moi-même. Ma vie est liée à celle de mon meilleur ami. Je change, je deviens plus fort, plus faible, tout en restant dans la relation« , créant ainsi une trame imagée et émotionnelle.
Les coups de pinceau lyriques de Harvie dépeignent avec habileté cette histoire, offrant une expérience sensorielle unique. L’image abstraite mais vivante évoque des souvenirs figés, une scène immobile de cigarettes et de pommes, saupoudrée d’éclats de comédie. La réalisation est sans faute de goût, les mélodies bien choisies, tout est fait avec un talent et un savoir-faire qui vous saute aux oreilles dès les premières mesures.
« CIGAPPLE » devient ainsi une œuvre d’art captivante, explorant la dualité de la vie et de l’amitié à travers des images poétiques et des nuances sonores. Harvie réussit à saisir l’éphémère et l’émotionnel, invitant les auditeurs à plonger dans la complexité riche des relations humaines, transformant ainsi cette chanson en une expérience inoubliable.