Disco Shrine fait son retour dans la lumière avec un single qui claque, « Illegally Blonde », sorti le 27 juin dernier. Cette DJ et productrice californienne, d’origine persane-américaine, signe un titre à la fois audacieux et léger, qui joue avec le mythe de la blondeur comme une arme fatale.
Sur fond de beats club et d’influences Y2K, « Illegally Blonde » mélange avec malice l’attitude espiègle des années 2000 et une énergie pop décomplexée. La chanson s’amuse à défier les standards classiques de beauté, avec cette idée que, parfois, être trop blonde peut presque relever du crime. Le refrain, mordant et catchy, résonne comme une déclaration : oui, les blondes savent comment s’amuser… et ça fait du bruit.
Le clip, véritable mini-film, pousse le concept encore plus loin. Disco Shrine se retrouve derrière les barreaux, prisonnière de son propre charme ultra-blond. Entourée de son « Blondetourage » et épaulée par une avocate clin d’œil à Elle Woods, elle organise une évasion haute en couleur, ponctuée d’interrogatoires taquins, d’un twist avec une policière pas si sage et, bien sûr, du fameux « bend and snap ». Tout cela dans une ambiance camp et pleine de références pop savoureuses.
Au-delà du simple morceau, « Illegally Blonde » s’impose comme une petite révolution ludique qui célèbre la confiance en soi et le glamour assumé, avec ce brin de provocation qui fait toute la différence. Disco Shrine rappelle qu’être blonde n’est pas juste un look, c’est un état d’esprit… et parfois, une arme redoutable sur le dancefloor.