Nouvelle étoile dans le ciel bouillonnant de New York, DÜÜL SUNS dévoile « Jealousy », un premier titre qui brille comme une déclaration d’intention. Écrit par le guitariste Jimmy Ruffino et arrangé collectivement, ce morceau s’impose d’emblée comme un concentré d’énergie cosmique, fusionnant avec panache rock garage néo-psychédélique, groove afro-funk et échappées jazzy/prog.
Portée par des synthétiseurs tourbillonnants, des guitares percutantes et des rythmes dansants, « Jealousy » est une invitation au lâcher-prise autant qu’un manifeste sonore. Le groupe ne cherche pas seulement l’effet de style : il propose de vraies chansons, construites avec soin, portées par des voix flamboyantes et une instrumentation taillée pour la scène. Le tout dégage une chaleur immédiate, une urgence festive, une vibe – mais avec la chanson qui la soutient.
Dans la grande tradition des formations psychédéliques modernes, DÜÜL SUNS ne craint pas la démesure ni l’expérimentation. Mais ce qui frappe surtout, c’est leur capacité à faire danser tout en racontant. Avec « Jealousy », ils signent un morceau lumineux, à la fois rétro et moderne, qui pourrait bien devenir l’hymne inattendu de la saison. Les SUNS sont arrivés – et ils comptent bien faire briller leurs rayons longtemps.