On se lance dans un EP osé avec « Tears, Drugs and Voicemails » d’Adam Noviello, une surprise qui va de la couverture à la composition de la chanson en passant par la voix. Bref, vous l’aurez compris Adam Noviello est une diva des temps modernes qui s’impose telle une créature divine mais ici divinité rime avec hypersensualité.
L’acteur et chanteur Adam Noviello est un artiste LGBTQ australien qui s’exprime avec un talent sans limites. Avec son premier EP « Tears, Drugs & Voicemails », il nous livre une exploration du genre, du sexe, de l’amour et de la perte, avec un camée vocal de la grand-mère d’Adam, Judy. Adam note que leurs textes ont tendance à ressembler à des messages vocaux en état d’ébriété, ce qui a inspiré le titre de l’EP.
Couteau suisse créatif à l’émotion contagieuse, Adam Noviello incarne son art et son talent unique sur « Tears, Drugs and Voicemails ». Il nous parle de son parcours :
« Écrire de la musique a toujours été un merveilleux exutoire créatif pour moi. Au fil des ans, mon désir de faire et de publier mes propres chansons a été un rêve. Lorsque la pandémie a mis fin à l’industrie du l’industrie du théâtre en 2020, j’ai perdu plusieurs emplois. J’ai décidé, maintenant plus que jamais, qu’il était temps pour moi de canaliser tout mon feu créatif dans ma propre musique ».
Il y a quelque chose d’attachant chez ce chanteur sulfureux qui fait sauter les lignes de la binarité et créer un non genre de sensualité. Bref, vous allez kiffer sur « Tears, Drugs and Voicemails », juste là par ici :