Jeremy Aaron se familiarise pendant son adolescence avec les instruments de musique. Heureusement, le courant passe super bien et il éclore des chansons exceptionnelles. Cette fois, il repousse un peu ses limites et offre à son public un morceau poignant qui parle d’humanité.
En effet, cette chanson retient l’attention des auditeurs dès lors que les premières notes s’écoulent. Ces dernières propagent des ondes puissantes qui suscitent instantanément la curiosité. Et puis, le voile tombe et on assiste à un spectacle inattendu. Le rythme de la musique se métamorphose en une atmosphère qui prête à confusion du premier coup.
C’est une agréable surprise qui nous maintient attentif au récit inspirant de Jeremy. Sa voix surplombe magnifiquement le paysage sonore pour mettre en valeur une narration saisissante. Ceci étant, les paroles de la chanson dressent un tableau vivant d’un monde sans Internet avec une pincée d’humour.
« The Day the Internet Died » est une excursion inédite au cœur d’un surréalisme émouvant. Il se construit autour des sonorités électroniques des années 80 et propose un refrain obsédant, couvert par des voix veloutées. La chanson fond progressivement comme de la glace exposée à la chaleur du soleil ; ce qui laisse le temps de savourer les dernières notes.