Découvrez Elien en 10 questions

Le crooner rockeur Elien, qui nous avait conquis avec sa reprise de « Carmen » de Stromae, nous dévoile un petit bout de sa vie avec l’interview en 10 questions. Il est l’heure de se plonger dans l’univers d’un artiste pas comme les autres et qui transforme les mélodies en une émotion pure…

1- Il y a t-il une signification derrière ton nom d’artiste ? 

Rien de bien ésotérique. ELIEN est mon nom de famille, celui du côté de mon père.
La seule signification que je lui donne, a été le choix d’un nom d’artiste qui ne marque pas de différence entre la personne que je suis sur scène et la personne que je suis dans la vie de tous les jours.

2- On ne sait pas grand-chose sur toi, peux-tu nous dire d’où tu viens? 


Hugo ELIEN. 26 ans. 1mètre 81. Balance ascendant Balance. J’ai grandi à Boulogne-Billancourt, et y fait mes premières années musicales, d’abord à travers des cours particuliers de guitare , puis en intégrant l’école de musique PRIZMA.
Je me suis ensuite ouvert au chant, et à la poésie,  en intégrant un premier groupe de rock français « Unamed Joker » avec des amis, dans lequel j’assumais le rôle de chanteur/guitariste.
Plus tard, j’ai intégré le conservatoire de Vanves en jazz pour perfectionner mon jeu de guitare et me former musicalement.
Le projet «  ELIEN » est né en 2019, d’une envie de remettre le rock et à la poésie au goût du jour.

3- Quand et comment en es-tu arrivé à faire de la musique ? 


Je me souviens d’un moment très fort que j’ai vécu lors d’un concert d’AC/DC au Stade de France en 2009. Angus Young embrasait sa guitare de solos déjantés, et j’ai trouvais ça complètement fracassé et merveilleux de pouvoir s’éclater sur son instrument devant autant de personnes qui prenaient un réel plaisir à le voir jouer.
Quelques semaines après je commençais mes premiers cours de guitare ( électriques s’il vous plait )

4- Te souviens-tu de la première chanson que tu as créée ? 


Ouhlalala… Oui je m’en souviens. C’était une chanson sur les émotions que l’on pouvait ressentir dans une relation amicale. Les hauts, les bas, les déceptions, les trahisons, les rires, la confiance, les fantasmes, les «  vrais » amis, les « faux » amis…
Petit précision : j’avais 13 ans quand je l’ai écrite, et j’avais donc tout le recul nécessaire pour comprendre ce sujet pas complexe du tout.


5- Peux-tu nous parler de ta musique en quelques mots ? 

Ma musique navigue entre un rock vif qui porte des textes sauvages et des riffs de guitare à gogo, et une pop poétique, plus propice à la balade mélancolique et amoureuse.

6- De quoi t’inspires-tu, quels artistes t’ont marqué ? 

Je lis beaucoup de poésie : Desnos, Aragon, Verlaine, Rimbaud, etc.. et essaie de me nourrir au maximum d’un environnement musical francophone large, qui pourrait aller du rap au métal en passant par le rock ou l’électro : Oxmo Puccino, Dooz Kawa, No One is Innocent, Lofofora, Feu ! Chatterton, Gaël Faure, Gargantua.
J’ai aussi une fascination pour Léo Ferré et Damso.

7- Qu’aimerais-tu que les gens retiennent après t’avoir écouté ? 



Que la poésie n’est pas dépassée, qu’elle peut être  moderne et sonner avec beaucoup de simplicité. Qu’on peut être un homme, être sensible et être ému devant un vélo. Que la langue française est sexy.


8-Quels sont tes projets en ce moment ? 


Je viens de sortir une nouvelle session acoustique qui est une version réarrangée de mon 1er titre « Pluie de Coups ». Et je vous donne rendez-vous à la rentrée pour la sortie d’un nouveau titre « Chandelier », avec un magnifique clip qui l’accompagnera.

9- Quel est ton rituel avant de créer ou de monter sur scène ? 


Avant de monter de scène, je m’isole, je respire et bois beaucoup d’eau car je suis généralement très stressé ( pas très rock’n roll je sais ), et surtout j’évite de parler au public déjà présent car je deviens vite exécrable avec le trac ( désolé ).

10- As-tu une anecdote ou un secret à nous confier ? 

Je suis le fils caché d’Alain Bashung et du Bigdil.