Paul Cogley vous emporte dans “Deep Blue Sky”

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Parfois spontanée, le moment d’un éclair, l’artiste parvient à trouver l’inspiration et à imager son œuvre finale. Parfois, l’inspiration peut se faire languir. Dans l’une ou l’autre des cas, il faut du temps pour produire juste et surtout faire ressortir le message et les sensations voulues.

C’est ce qu’aura fait Paul Cogley pour son dernier album Deep Blue Sky qui lui a valu deux ans de travail méticuleux pour un résultat subliminal. Un résultat que le chanteur juge d’envergure mondiale et dont nous allons corroborer l’avis.

L’album est un combo de douces mélodies à la saveur rock expérimental, étincelant, parsemé de rythmes électroniques EDM. 12 titres, qui s’écoulent le long de 56 minutes 20 secondes, auront la pesante charge d’éblouir l’auditoire américain et ceux d’ailleurs.

Cependant, le chanteur d’Edmonds a chargé au préalable l’album des armes nécessaires pour remplir sa mission.

Au premier rang sur Deep Blue Sky, on trouve Mr Spaceman qui interpelle sur cette pression que l’homme s’inflige à être à la hauteur des autres ou de s’en retrouver déprimé. Au deuxième rang se pose tranquillement What If It Were You, pour rappeler sagement l’apathie générale qui se développe actuellement dans la société.

Se baladant dans cet univers enrichissant aussi bien dans les lyrics que les sonorités, nous traversons des avenues telles que Lament, Longing, Everything Changes, jusqu’à Pebble pour enfin sortir par la grande porte Epitaph. Prenez le rendez-vous de cette balade en cliquant ci-dessous.

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