Ce soir, nous avons décidé de nous promener du côté de Philadelphie à la découverte de Dépression, Mom. Le genre de belle surprise nocturne qui s’implante, s’infuse avec efficacité pour une parenthèse musicale de qualité, réussie. « Once In California » nous offre moment d’évasion musical, une plongée dans un univers particulier qui ne manquera pas de marquer votre week-end.
Inspirée par la musique des années 1960, principalement Phil Spector et The Lawrence Welk Show, la chanson « Once In California » de Depression, Mom nous offre un voyage dans un Dream-Rock aussi léger que profond.
Une complémentarité sonore qui attire directement les oreilles.
Composé de Max Church et Luke Sperber, le goure Dépression, Mom s’est rencoontré le premier jour du collège à l’Université de Washington à St. Louis en tant que colocataires appariés au hasard. Le coup de foudre est immédiat.
Ils nous parlent de leur nouvelle chanson :
« Nous voulions créer une chanson nostalgique qui donne aux gens l’impression de pouvoir l’écouter tout en se remémorant leur enfance ou en regardant par la fenêtre d’une voiture. Nous avons été particulièrement inspirés par Mac Miller, Post Malone et Juice Wrld pour ce single. Cette chanson parle du sentiment que vous ressentez lorsque vous réalisez que vous devez quitter une relation mais que vous essayez tout ce qui est en votre pouvoir pour que cela fonctionne. Parfois, il faut apprendre à lâcher prise. »
Sous un voile de musiques agréables où les mélodies se bousculent, se croisent dans la meilleure des harmonies, Depression, Mom s’impose. « Once in California » dévoile avec simplicité et efficacité un timbre de voix reconnaissable qui ne laisse pas indifférent car touchant de sensibilité.
Un moment parfait de musique dont il faut profiter des bienfaits car rares, à écouter sans plus tarder ci-dessous :
