Pépite du jour, bonjour.
Le clip et la musique que vous allez découvrir sont aussi authentiques que sexy. Un feu ardent aux couleurs DreamPop électro teintées de Post-Punk, le tout saveur 80’s. Un joyeux bordel qui laisse présager un moment très chaud, façon vintage revisité. Du simple, du beau « subtilement » érotique.
Des culs, des cuisses et des femmes épanouies, vous allez en voir, mais ce n’est pas ce qui rend ce son puissant. La mélodie et le groove addictif de cette chanson fait toute la magie, un moment festif et enivrant porté par la voix de miel de Jane Machine. Un moment de douce nostalgie rythmée de décadence sensuelle.
Avec son clip accrocheur, bourré de poésie humaine et d’émotions positives, nous sommes pris dans ce moment que l’on ne veut plus arrêter.
De son vrai nom, Erica von Trapp, Jane Machine est une artiste accomplie. Cette auteure-compositrice, productrice chanteuse sculpte un nouveau paysage depuis ses studios de Joshua Tree et de Portland, Oregon, explorant les notions de but humain, de désir et de nage dans le vide à travers un mélange de synthés analogiques, de voix intimes, d’instrumentation expérimentale et d’électronique/ percussions modulaires. Le résultat est une pop art éthérée à la fois ludique et obsédante.
S’inspirant de la musique électronique de ses années passées à Paris, où elle a commencé à produire de la musique et à manœuvrer des studios d’enregistrement, le rythme hip hop de son enfance dans la région de la baie de Californie et les textures d’un autre monde de ses années à Joshua Tree, Jane Machine se situe quelque part entre alt electro pop, trip hop et witch house.
En des notes chargées d’émotions, Jane Machine frôle les cœurs et les oreilles d’une ritournelle aux accords délicieusement ardents. Sous des teintes torsadées de balancements nostalgiques et de mouvements emplis de chœurs chauds, lui bouscule intensément. Elle nous offre vous offre une parenthèse de qualité à découvrir au plus vite, ci-dessous :